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BRÉSIL : CROISSANCE RALENTIE ET VIEILLISSEMENT DE LA POPULATION SELON LE RECENSEMENT BRESILIEN DE 2022. Hervé THERY

vendredi 19 janvier 2024 Hervé THERY

Dans cet article, Hervé Théry (1) nous propose l’analyse d’une partie des résultats du recensement démographique brésilien de 2022 (lancé par l’Institut Brésilien de Géographie et Statistique). Ils sont publiés après une période particulièrement troublée (Covid, présidence de Jair Bolsonaro.). L’étude permet de comprendre les conditions de vie de la population brésilienne à travers plusieurs indicateurs (classes d’âge, ratios actifs/inactifs, hommes/femmes etc...). On peut faire le constat d’un vieillissement (contrasté) de la population et toujours celui d’une grande diversité.

Les cartes inédites d’une très grande lisibilité sont construites par l’auteur.

(1) Hervé Théry est Directeur de recherche émérite au CNRS-Creda et Professeur à l’Universidade de São Paulo (USP-PPGH)

BRÉSIL : CROISSANCE RALENTIE ET VIEILLISSEMENT DE LA POPULATION SELON LE RECENSEMENT BRESILIEN DE 2022

Le recensement démographique qui vient d’être lancé par l’IBGE [1] arrive à point nommé, à un moment où le Brésil a connu un changement politique de grande ampleur avec le retour de Luís Inácio « Lula » da Silva après les quatre ans de la désastreuse présidence de Jair Bolsonaro. Il constitue la principale source de référence pour comprendre les conditions de vie de la population. Ses résultats – qui ont causé quelques surprises – fourniront des informations précieuses pour l’administration publique et la planification sociale et économique du pays.
Le précédent avait été réalisé en 2010 et le suivant était prévu en 2020, mais en raison de la pandémie de COVID-19 et de coupes budgétaires drastiques faites en 2021 par le gouvernement de Jair Bolsonaro, l’opération a été reprogrammée pour 2022. Pour le réaliser, 106,8 millions d’adresses et 90,7 millions de ménages ont été visités dans les 5 568 communes du pays [2].

Ses résultats sont disponibles à différents niveaux géographiques : Brésil entier, Grandes régions, États fédérés, concentrations urbaines et communes. Les notes techniques qui accompagnent la publication indiquent, entre autres considérations méthodologiques, les définitions adoptées dans la recherche et résument les procédures générales utilisées pour collecter et traiter les données de l’enquête. Toutes ces informations sont disponibles sur le site web de l’IBGE, sur son Système de Récupération Automatique (Sidra) [3], sur la Plate-forme géographique interactive (PGI), ainsi que sur la page de l’enquête.

Les cartes ci-dessous ont été élaborées à partir de ces données et sont accompagnées de brefs commentaires basés en partie sur les informations fournies par l’IBGE lors de la publication de chaque série de données. Une analyse complète a été publiée – en portugais – dans notre revue franco-brésilienne Confins  [4]

Nous avons choisi de traiter ici les données sur la croissance globale de la population brésilienne, son évolution entre 2010 et 2022, les classes d’âges qui la composent et son vieillissement et les ratios actifs/inactifs et hommes/femmes.

Une croissance plus lente

L’une des premières surprises du recensement a été le ralentissement – plus rapide que prévu – de la croissance démographique. L’estimation faite par l’IBGE en août 2021 était que la population brésilienne était de 213,3 millions, mais le résultat du recensement a été sensiblement inférieur, avec 203 millions (plus précisément 203 062 512). Il s’agit – tout de même – d’une augmentation de 12,3 millions de personnes par rapport au total enregistré lors du recensement de 2010 (190 755 799), ce qui prolonge la série historique qui a vu le pays passer de moins de 10 millions d’habitants lors du premier recensement moderne, en 1872, à plus de 200 en 2020, une multiplication par 20 en 150 ans. Mais cette fois le taux de croissance annuel moyen de la population brésilienne a été le plus faible jamais enregistré depuis 1872, soit 0,52 %, alors que lors du recensement de 2010, il s’élevait encore à 1,17 %). De toute évidence la croissance rapide qui avait commencé avec la réduction des taux de mortalité à partir des années 1940, s’est arrêtée avec la baisse des taux de fécondité depuis les années 1960, ce qui a conduit à une diminution du taux de croissance à partir des années 1970. Le Brésil est actuellement le sixième pays le plus peuplé au monde (après l’Inde, la Chine, les États-Unis, l’Indonésie et le Pakistan), mais il sera bientôt – ou a déjà été – dépassé par le Nigéria.

Photo 1 – Foule de supporters au stade Morumbi, à São Paulo

Cependant, la réduction n’affecte pas de la même manière l’ensemble du territoire national : toutes les régions ont un taux de croissance annuel moyen de plus en plus faible mais le Centre-Ouest, où progresse le front pionnier de la culture du soja et de l’élevage, a un taux deux fois plus élevé que la moyenne nationale : alors que le taux annuel brésilien était de 0,52 %, celui du Centre-Ouest a été de 1,23 %, contre 1,9 % en 2021. Lors des recensements de 2010 et 2000, la région ayant le taux de croissance le plus élevé était le Nord amazonien, dont le taux a considérablement baissé dans l’édition actuelle, passant de 2,09 en 2010 à 0,75 en 2022.

Figure 1 Croissance de la population brésilienne de 1872 à 2020

Évolution de la population entre 2010 et 2022

Dans l’ensemble, l’évolution de la population entre les deux derniers recensements a donc a été positive. Mais la carte 1 (où les points jaunes correspondent à des communes où le total de population mesuré par l’IBGE a été contesté devant les tribunaux) confirme qu’elle est loin d’avoir été homogène dans tout le pays : les triangles verts qui signalent l’augmentation de la population des communes sont très majoritaires, et particulièrement concentrés sur un axe Sud/Nord qui va du Santa Catarina [5], dans le sud, jusqu’au Roraima, tout au nord de l’Amazonie. Les triangles roses et rouges indiquent au contraire les régions qui ont perdu de la population entre 2010 et 2020 principalement dans le Nordeste mais aussi dans l’extrême sud (toute la partie méridionale du Rio Grande do Sul), le Rondônia et le Maranhão.

Carte 1 Évolution de la population entre 2010 et 2020

La carte 2 ne prend en compte que les changements de population – positifs et négatifs – de plus de 3 000 habitants par commune : cela rend plus visible les pertes de population qui se sont produites dans plusieurs villes du Nordeste, la région la plus pauvre du Brésil, celle aussi d’où l’émigration est la plus forte. Elles apparaissent également dans les confins du Maranhão et du Pará et dans le Rondônia, qui étaient des zones pionnières et d’afflux de migrants au cours des décennies précédentes, une remarquable inversion de tendance en moins d’un demi-siècle.

Carte 2 Gains et pertes de population de plus de 3 000 habitants

La carte 3 montre les gains de population de chaque État [6] à l’aide de symboles proportionnels (triangles rouges), et le fond anamorphosé, déformé en fonction de la population de chaque État, prend une couleur correspondant à son taux d’évolution.

Carte 3 Évolution de la population par État entre 2010 et 2020

Classes d’âges

Dans sa quatrième livraison de données, l’IBGE a publié des informations sur la population résidente par âge et par sexe, ainsi que certains indicateurs dérivés, tels que l’âge médian, l’indice de vieillissement et le sex-ratio (le rapport entre le nombre des hommes et des femmes). L’âge médian – l’indicateur qui divise une population entre les 50 % les plus jeunes et les 50 % les plus âgés – a augmenté de 2010 à 2022, passant de 29 ans à 35 ans, ce qui indique un net vieillissement de la population. Au cours de la même période, cet indicateur a augmenté dans le Nord amazonien de 24 à 29 ans, dans le Nordeste de 27 à 33 ans, dans le Sudeste de 31 à 37 ans, dans le Sud de 31 à 36 ans et dans le Centre-Ouest de 28 à 33 ans.

Photo 2 – Personne âgée et activité ancienne, dentellière à Raposa (Maranhão)

Cet âge médian est certes plus bas que ceux des pays du Vieux Continent, notamment celui de la France (41,4 ans), de l’Italie (47,7) ou de l’Allemagne (44,9) et le Brésil n’a pas trop de souci à se faire à court terme pour le paiement des retraites. Mais la répartition entre les classes d’âge est, elle aussi, très différente d’une région à l’autre, elles en sont à des stades différents de la transition démographique, comme le montre la carte 4. Les jeunes sont beaucoup plus nombreux dans le Nord amazonien, le centre Ouest et une bonne partie du Nordeste, les classes d’âge actif prédominent dans le Sudeste et le Centre-Ouest, tandis que le pourcentage de personnes âgées devient plus significatif dans le Sud et quelques parties du Sudeste.

Carte 4 Population jeune, en âge de travailler et âgée en 2022

Si l’on construit une typologie à partir de cette distribution des classes d’âge en trois puis cinq groupes, on peut faire apparaître, en utilisant une CAH (classification ascendante hiérarchique sur les cartes 4 et 5) des régions où l’un (ou deux) d’entre eux, sans prédominer, le(s) distingue(nt) de la moyenne nationale. Dans presque tout le pays on constate que c’est celui des jeunes qui domine, avec une présence plus forte encore en haute Amazonie. Les groupes de la population d’âge actif sont particulièrement présents sur l’axe pionnier qui avance vers le nord-ouest et secondairement vers certaines parties du Nordeste, marquant la trace des fronts agricoles vers lesquels migrent les pionniers. Dans le Sudeste, ou l’économie est plus mûre, on observe une cohabitation des actifs et des personnes plus âgées, et ces derniers sont encore plus présents dans l’extrême sud du pays et dans des régions spécifiques comme le nord du Minas Gerais et le centre de l’État de Bahia : ce sont des régions d’émigration, d’où partent précisément ces mêmes pionniers, et ces départs accroissent la part des personnes âgées dans le total de la population.

Carte 5 Typologie des groupes d’âge en 3 classes

Carte 6 Typologie des groupes d’âge en 5 classes

Les problèmes posés par cette évolution démographique contrastée sont donc différents selon les régions. Dans le Nord amazonien et une bonne partie du Nordeste, où les jeunes sont nombreux, il faut constamment construire logements, écoles et équipements de santé, ce qui est difficile car ce sont les régions les plus pauvres du pays. Les classes d’âge actif prédominent dans le Sudeste et le Centre-Ouest, le cœur économique du pays, ce qui le favorise encore par rapport au reste du pays. En revanche, le pourcentage de personnes âgées devient plus significatif dans le Sud et quelques parties du Sudeste, où il va falloir au contraire penser sérieusement à des structures d’accueil pour les personnes âgées, ce qui était très peu pris en compte jusqu’à présent, car il paraissait naturel que ce soient les familles qui les prennent en charge.
Ces différences de la composition de la population se voient même à l’œil nu quand l’on circule au Brésil, on croise constamment des groupes d’enfants dans les régions ou leur proportion dans la population est encore élevée, alors que c’est de moins en moins le cas dans le Sud du pays. Les spécialistes du marketing ont même développé un indicateur pour « mesurer » cette évolution, le remplacement progressif des magasins qui vendent des produits (vêtements, alimentation et jouets) pour bébés par d’autres qui en vendent pour animaux de compagnie…

Photo 3 – Enfants en sortie scolaire sur la place du Pelourinho, à Salvador de Bahia

Un autre ratio intéressant qui peut être calculé à partir des données du recensement démographique est le taux de masculinité (ou de féminité, qui en est le symétrique), c’est-à-dire le rapport entre le nombre d’hommes et de femmes dans la population. Dans le cas du Brésil il donne un résultat très clair, l’opposition entre les parties les plus proches du littoral, où les hommes sont moins nombreux (et donc les femmes plus nombreuses) et l’intérieur du pays, notamment l’Amazonie où, au contraire, c’est le nombre des hommes qui l’emporte.

Il y a à cela une explication simple, la migration des hommes vers les fronts pionniers amazoniens ou du Centre-Ouest, qui demandent constamment de la main-d’œuvre pour des travaux physiquement assez durs (comme le déboisement), avec des conditions de logement et d’hygiène assez précaires. Il est donc habituel que les hommes qui partent seuls laissent derrière eux leurs familles, provisoirement ou parfois définitivement.
La plus faible proportion des femmes est donc principalement causée par le départ des hommes, sauf dans les grandes villes où elles sont effectivement plus nombreuses en raison de la survivance au Brésil de l’emploi massif de domestiques (les empregadas domésticas), qui sont quasiment toutes des femmes) dans les familles aisées ou de classe moyenne : elles sont au total plus de 7 millions, originaire en grande partie des régions les plus pauvres.

Carte 7 Indice de masculinité

Ce simple calcul du rapport entre le nombre de femmes et d’hommes fait donc apparaître sur les cartes plusieurs phénomènes concomitants, la présence de fronts pionniers actifs vers l’Amazonie et le Centre-Ouest, la dévitalisation des campagnes les plus anciennes du Nordeste et du Sudeste par le départ des hommes vers ces fronts, et des femmes vers les grandes villes.
Les cartes ont donc ici un rôle de révélateur de structures spatiales que la lecture de tableaux de chiffres ou de graphiques ne permettraient pas de percevoir de la même façon. Il est toutefois évidemment tout à fait indispensable de compléter cette vision obtenue à partir de données statistiques, même re-traitées sous forme de cartes, par une fréquentation assidue du pays, car rien ne peut remplacer la vision directe des paysages et les conversations avec ses habitants.

Photo 4 – Colons venus de tout le pays en Rondônia (Amazonie)

Cela peut être confirmé par la photo 4, prise il y a presque 50 ans dans un périmètre de colonisation de l’État du Rondônia, en Amazonie, où l’on voit bien que les colons qui y affluaient venaient de différentes régions du pays. Des métis venus du Nordeste et des agriculteurs descendants des immigrants venus d’Italie ou d’Allemagne au XIXe siècle (et installés dans le sud du pays) s’y retrouvaient pour tenter une nouvelle vie dans cette région dont ils connaissaient bien mal le climat et les sols. Ils écoutaient donc avec beaucoup d’attention les quelques cours d’agronomie pratique qui leur était donnés dans les écoles construites à la hâte avec le bois provenant du défrichement de la forêt. Une image qui synthétise la diversité humaine du Brésil – qui est une de ses forces – et son dynamisme territorial et social qui en est une autre, et non des moindres.

Hervé Théry, le 3 janvier 2024

Notes

[2À comparer avec les 34 816 communes que comptait en 2023 la France métropolitaine, avec un superficie quinze fois plus petite (8 514 876 km2 contre 551 695 km2).

[4Accès libre et gratuit à l’adresse https://journals.openedition.org/confins/54974

[5Voir le nom des États sur la carte 3.

[6La République fédérative du Brésil compte 26 États et un District fédéral.

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